Depuis cette résidence au studio du Québec à Londres en 2012, des lavis se sont ajoutés, j’ai découpé mes dessins pour ensuite les réassembler de façon aléatoire. L’empreinte répétée de leurs composantes, l’accumulation des fragments en modifient la perception. Dans l’étrange paysage qui en découle, chaque motif en appelle un autre, le regard se déplace, invite l’œil au voyage.
Photos : Guy L'Heureux