Lors de cette résidence, j’ai transposé mes pas dans la cité en une mosaïque de minuscules motifs à l’aquarelle, leur juxtaposition rappelle le morcellement des cartes géographiques. Ce projet a pris la forme d’une installation murale qui reconstruit par fragments mes promenades, où le réel et l’imaginaire se croisent et se superposent. C’est ainsi que m’est apparue La ville infinie (Infinite City) 2012.
Installation. Dessin-assemblage de vingt-huit fragments peint sur papier aquarelle.
190 × 360cm
Dessin-assemblage, aquarelle. 48 × 70cm